Après trois ans d’absence, Shirley et Dino sont de retour avec un nouveau spectacle, « ET ReVOILÀ! ». Un condensé de leurs meilleurs sketches.
Shirley et Dino sont de retour après trois ans d’absence. Corinne (Shirley) et Gilles (Dino) Benizio ont parcouru la France pour s’essayer à différents domaines comme l’opéra, le cinéma, etc. Mais aujourd’hui, avec leur nouveau spectacle ET ReVOILÀ, ils « redeviennent » Shirley et Dino. Et ils renouent avec le public belge et français.
Vous avez été absents de la scène pendant trois ans, pourquoi ?
Ce n’est pas le bon mot, nous n’étions pas absents de la scène. On a mis Shirley et Dino au placard, mais on a eu un planning bien chargé (rires). On a, par exemple, recréé notre troupe pour monter les Chaméléons. Avec ce spectacle, mélangeant les styles, on a tourné pendant deux ans et on a fait ce qu’on aimait. Mais on a, également, monté l’opéra King Arthur à Montpellier. Durant ces « congés », on a participé au spectacle musical « Le Soldat Rose », de Louis Chedid.
Shirley et Dino sont de retour pour une raison particulière ?
On avait envie de refaire nos bêtises sur scène. C’est assez jouissif de reprendre nos anciens numéros pour les jouer à nouveau et retrouver notre public. On avait envie de ça.
Comment sera le nouveau spectacle ? Des nouveautés ?
Non. C’est un « melting-pot » de nos meilleurs sketches. Il n’y a pas de nouveautés dans ce spectacle. On a plus de 40 sketches en stock. On a sélectionné les meilleurs pour les rejouer.
Durant les vacances de Shirley et Dino, vous avez eu beaucoup d’activités professionnelles. Qu’est-ce que ça vous a apporté ?
Beaucoup d’expériences professionnelles. On a exploré différents domaines, découvert différentes techniques. Sur le spectacle du Soldat Rose, on a dû apprendre à des chanteurs à jouer la comédie et je vous promets que ce n’est pas toujours évident. Mais l’opéra fut aussi une expérience riche. On ne connaissait rien à ce milieu, à cet univers. De plus, leurs méthodes de travail ne sont pas les mêmes que nous. Eux, ils apprennent tout par coeur (rires) ! Nous, on improvise sans cesse ! Ils sont très rigoureux, ils ont un timing serré, on n’avait pas du tout l’habitude. Mais on y a mis notre petit grain de sel et durant les répétitions, on leur a appris à improviser, on leur a donné l’opportunité de se « laisser aller » comme nous! Enfin presque ! (rires)
Trois dates en Belgique ? Vous êtes contents de revenir chez nous?
Oui ! On adore la Belgique, surtout Bruxelles. On a beaucoup d’amis dans votre capitale comme les frères Taloche, Philippe Geluck, etc. D’ailleurs quand on passe le week-end à Bruxelles, on aime aller chiner à la rue Haute dans le quartier des Marolles.
Et jouer en Belgique ?
C’est toujours un plaisir. Le public est respectueux, toujours prêt à faire la fête. Par exemple, on a refait l’émission des frères Taloche dernièrement à Verviers, le public était le même. De plus, l’ambiance est bon enfant, l’accueil chaleureux. Que demander de plus ?
Vous avez été absents de la scène pendant trois ans, pourquoi ?
Ce n’est pas le bon mot, nous n’étions pas absents de la scène. On a mis Shirley et Dino au placard, mais on a eu un planning bien chargé (rires). On a, par exemple, recréé notre troupe pour monter les Chaméléons. Avec ce spectacle, mélangeant les styles, on a tourné pendant deux ans et on a fait ce qu’on aimait. Mais on a, également, monté l’opéra King Arthur à Montpellier. Durant ces « congés », on a participé au spectacle musical « Le Soldat Rose », de Louis Chedid.
Shirley et Dino sont de retour pour une raison particulière ?
On avait envie de refaire nos bêtises sur scène. C’est assez jouissif de reprendre nos anciens numéros pour les jouer à nouveau et retrouver notre public. On avait envie de ça.
Comment sera le nouveau spectacle ? Des nouveautés ?
Non. C’est un « melting-pot » de nos meilleurs sketches. Il n’y a pas de nouveautés dans ce spectacle. On a plus de 40 sketches en stock. On a sélectionné les meilleurs pour les rejouer.
Durant les vacances de Shirley et Dino, vous avez eu beaucoup d’activités professionnelles. Qu’est-ce que ça vous a apporté ?
Beaucoup d’expériences professionnelles. On a exploré différents domaines, découvert différentes techniques. Sur le spectacle du Soldat Rose, on a dû apprendre à des chanteurs à jouer la comédie et je vous promets que ce n’est pas toujours évident. Mais l’opéra fut aussi une expérience riche. On ne connaissait rien à ce milieu, à cet univers. De plus, leurs méthodes de travail ne sont pas les mêmes que nous. Eux, ils apprennent tout par coeur (rires) ! Nous, on improvise sans cesse ! Ils sont très rigoureux, ils ont un timing serré, on n’avait pas du tout l’habitude. Mais on y a mis notre petit grain de sel et durant les répétitions, on leur a appris à improviser, on leur a donné l’opportunité de se « laisser aller » comme nous! Enfin presque ! (rires)
Trois dates en Belgique ? Vous êtes contents de revenir chez nous?
Oui ! On adore la Belgique, surtout Bruxelles. On a beaucoup d’amis dans votre capitale comme les frères Taloche, Philippe Geluck, etc. D’ailleurs quand on passe le week-end à Bruxelles, on aime aller chiner à la rue Haute dans le quartier des Marolles.
Et jouer en Belgique ?
C’est toujours un plaisir. Le public est respectueux, toujours prêt à faire la fête. Par exemple, on a refait l’émission des frères Taloche dernièrement à Verviers, le public était le même. De plus, l’ambiance est bon enfant, l’accueil chaleureux. Que demander de plus ?